“Si l’amour ne causait que des peines, les oiseaux amoureux ne chanteraient pas tant.”
Philippe Quinault
Je ne disposais pas d’un lieu aux dimensions propices à l’extension quand j’ai effectué mon retour à l’élevage d’oiseaux. Dans un espace restreint on doit se concentrer sur un nombre faible d’espèces ou faire des erreurs. J’ai fait les deux en commençant par les bourdes : volière collective, impatience… Donc cette reprise s’est surtout ponctuée par des pertes. Je parle de retour à l’élevage parce-qu’étant plus jeune, j’ai eu différentes espèces : ondulées, calopsittes, puis un Faucon crécerelle, un Martin triste, et enfin un Corbeau. Je me suis donc vite limité à un nombre d’espèces faible, Youyou et Eclectus, pour enfin me consacrer qu’à une seule. Et pourtant j’aurais tant aimé élever dans l’ordre Ara Canindé, Perruche cornue, Mainate…
Les oiseaux que je maintiens en milieu contrôlé sont les représentants d’une sous-espèce que l’on trouve dans les îles Aru, au Nord/Nord-Est de l’Australie, entre l’Indonésie et la Papouasie. Ils reproduisent suffisamment bien pour que je me charge simplement de baguer les petits.
C’est à dire avoir un espace suffisant pour passer du temps sans être à la vue de son partenaire. Même si la conception de cette volière est due d’avantage à un souci esthétique et pratique répondant à l’exiguïté du jardin, je trouve que c’est une coïncidence très bien venue. Une volière supplémentaire, plus petite mais ayant accès à notre tonnelle fermée héberge Néréa, la jeune fille qui atteint ses 2 ans et que vous connaissez maintenant puisqu’elle est présente à l’expo du CODA depuis qu’elle est née, et sera certainement encore parmi nous en septembre prochain. Élevée naturellement par ses parents, elle est l’objet d’une expérience visant à la rendre apprivoisée par la confiance.
Un ami qui n’est plus parmi nous, et je le regrette bien car je vais le contredire sur ce sujet en son absence, avait dit qu’ils les trouvaient apathiques au point d’en être idiots.
Au départ on m’a décrit l’animal comme ayant le plus mauvais caractère de tous les perroquets, d’un naturel calme mais au cri aussi puissant que désagréable, peu destructeur, sachant parler. Évidemment on a évoqué l’organisation matriarcale de la société Eclectus, son penchant pour les fruits et son dimorphisme sexuel (qu’au-début-on-a cru-que-c’étaient-deux-espèces-distinctes), de ses 10 sous-espèces introuvables, que la femelle était polygame…
Je vais tâcher de vous présenter l’Eclectus différemment, sans légende urbaine, sans on-dit, mais sur des faits, des observations auxquelles j’ai été témoin ou que plusieurs chercheurs ont rapporté. Ces observations sont malheureusement limitées à l’étude des travaux des Dr. R. Marshall et Dr. R. Heinsohn (observation en biotope) et ne sauraient être exhaustives. Mais cela permet quelques déductions, et celles-ci me paraissent suffisamment surprenantes pour que je les partage.
L’Eclectus en captivité, on dirait qu’il s’économise. Vous pouvez passer devant la volière plusieurs fois par jour sans qu’il n’ait bougé d’un iota. À croire qu’il ne bouge que pour être le premier sur la gamelle. C’est plutôt vrai, c’est un oiseau qui passe le plus clair de son temps à observer …analyser… et ne se déplace que quand c’est nécessaire.
Il dispose effectivement d’un moyen de communication très puissant, et sait le rendre encore plus désagréable si son besoin est insistant. A la limite du diabolique ! J’habite en plein cœur d’un village et on entend les miens dans un rayon de 3kms à vol d’oiseau. Pourtant je n’ai en 10 ans reçu aucune plainte. La plupart des gens ne savent même pas qu’il y a des perroquets dans le secteur. Car en fait, ils n’abusent pas de ce moyen de torture. Juste le nécessaire, un peu le matin, un peu le soir, un peu quand la gamelle tarde, un peu quand quelque chose les dérange. Le reste du temps ils sont parfaitement silencieux ou échangent avec une grande variété de grincements qui en dit long sur la richesse de leur vocabulaire. Et là je ne parle que des sons sauvages, propres à l’espèce, je ne parle pas des imitations, des sifflements qu’ils utilisent pour m’interpeler. Le reste du temps ils font la sieste… Cela en fait par conséquent des oiseaux assez calme…
La femelle hors de période de reproduction, ne se laisse pas approcher par son partenaire, possède ses perchoirs attitrés, est la première aux gamelles. Bref elle domine, au point qu’on pourrait lire la soumission dans les yeux du mâle. Aru est peu joueuse, elle est par contre très curieuse. Je l’ai surtout remarqué quand je bricole dans la volière.
Ces interventions doivent être très courtes, elle même m’invitera à ne pas m’éterniser. Je suis dans son territoire, elle me tolèrera une 20aine de minutes, après quoi elle commencera a être menaçante, à moins que je n’oublie pas de lui témoigner mon affection avec une gestuelle que nous avons convenu ensemble.
En dehors de çà, elle sait défendre son nid avec force et insistance. La femelle est très territoriale dès le moment des premiers amours réussis, Et cette territorialité ne s’arrêtera que quand elle se sera fortifiée dans son nid. Nid qu’elle occupe tout le long de l’année, qu’elle veuille reproduire ou non. C’est sa maison.
Manu lui est très joueur à partir du moment où il y a une récompense à la clef, il sait résoudre des jeux un peu compliqués pour obtenir un cerneau de noix. Il est resté très imprégné à l’humain, mais je ne le sollicite pas à se percher sur mon bras. Il n’est absolument pas agressif. C’est le SDF de la volière, il n’aura pas accès au nid, cantonné à monter la garde devant. Il n’aura le privilège d’y pénétrer que quand elle lui autorisera l’accès, c’est à dire quand elle sera disposée. Il perdra ce privilège à partir du moment où le rejeton sera en âge de prendre son envol, à moins que madame n’en profite pour remettre les couverts.
L’Eclectus se reproduit en toute saison.
Il est nécessaire de fermer le nid pour éviter l’épuisement. Ce qui contrarie extrêmement Aru. Contrarier un Eclectus il ne faut pas ! Aru est parvenue à percer une paroi du nid et a relancé l’exploitation ! Ainsi naquit Néréa.
Dans un cadre général on ne peut pas dire qu’il soit non plus destructeur. Par ailleurs, il utilise une gestuelle expressive afin de déclarer le mécontentement et prévenir du risque encouru de s’obstiner à faire quelque chose qui ne lui plait pas. A force d’observation j’ai appris à comprendre quelques postures, qui m’indiquent son humeur.
Tout allait bien dans le meilleur des mondes jusqu’à ce que je commence à me renseigner sur les observations dans la nature, et plus particulièrement au travers des rapports du Dr Marshall et ceux du Dr Heinsohn. C’est notamment grâce à des observations préliminaires de leur part que certains éleveurs ont choisi de reproduire les Eclectus en volière communautaire. Ils avaient à l’époque constaté que les mâles à l’état naturel coopéraient afin d’apporter la nourriture nécessaire pour alimenter tous les nids du territoire. On en a déduit que la femelle était polygame, puisqu’on pouvait voir plusieurs mâles alimenter le même nid. Plus récemment le Dr Marshall a suivi une population d’Eclectus, a analysé leurs allées et venues pour démontrer que ce singulier comportement était d’avantage nourri par l’entraide entre mâles que par la polygamie.
Dans cette série de vidéos (38 clips de moins d’1 minute chacun) le Dr Marshall explique ses observations : les mâles ont un point de ralliement, puis se dispersent vers des lieux riches en nourritures spécifiques. Il font ensuite leur tournée. ils s’échangent les lieux d’approvisionnement, de façon à fournir tout le long de la journée une nourriture très diversifiée, pour un effort réparti sur tous les mâles. Et quel effort puisque certains lieux d’approvisionnement peuvent représenter un voyage de 80kms. Dans le programme quotidien une bonne partie du temps est également consacrée à protéger le nid. L’Eclectus est en compétition avec les Cacatoès à huppe jaune et les Cacatoès microglosse ce qui expliquerait la vaillance à toute épreuve d’Aru pour défendre sa volière.
Le Dr Heinsohn quant à lui a fait une découverte encore plus sensationnelle.
Pourquoi ? Deux raisons à cette tragédie, la première est que les jeunes femelles sont plus vite autonomes (elles s’envolent du nid 7 jours plus tôt en moyenne que les mâles), c’est donc une volonté de réussite. La seconde est l’équilibrage du sex-ratio. Autrement dit, les mères nichant dans des conditions défavorables se concentrent sur l’élevage des femelles, tandis que celles nichant dans des conditions optimales auraient plus de chance de produire des mâles.
On s’est aperçu que les mères en milieu peu propice donnaient la vie à d’avantage de femelles. Grâce à ce comportement il est capable d’affronter les pires conditions climatiques. Le professeur peut en conclure que l’espèce n’est pas en danger et peut poursuivre ses recherches qui vont s’orienter maintenant vers l’étude de l’impact des conditions climatiques sur le contrôle des genres, aussi bien pour les femelles que pour les mâles.
Il n’en reste pas moins vrai que sur le papier l’Eclectus devrait subsister, malgré la détérioration climatique. Cependant, la région dans laquelle il vit est la proie de la surexploitation d’huile de palme, pour le compte de multinationales, comme Ferrero ou encore Total, réduisant son biotope comme peau de chagrin. Tony Silva a affirmé sur le sujet que tous les oiseaux de cette région, pour qu’ils aient une chance de ne pas disparaitre devaient avoir un grand nombre de leurs représentants préservés en milieu contrôlé.
Étant donné l’instinct casanier de la femelle, notamment durant la reproduction, et fort de l’observation de l’équilibrage du sex-ratio, il y a par conséquent des informations qui se transmettent entre les nids et les mâles en sont forcément les vecteurs. Avec un tel pouvoir ne serait-ce pas les mâles qui seraient les commanditaires de ces exécutions ? Ce qui vous en conviendrez ne serait pas tant matriarcal que çà. Les mâles ne seraient que les exploitants d’une usine à bébés à ciel ouvert.
Bien que parfois macabre, cette organisation n’en est pas moins plus que remarquable, et d’une efficacité rare dans le milieu animal. C’est incontestable. Je contredis donc avec satisfaction mon regretté ami. Je suis certain qu’à la lecture de cet article, il serait tombé d’accord avec moi.
Dans la série de vidéos illustrant cet article, il analyse le système digestif ainsi que le régime alimentaire de l’Eclectus et les compare aux espèces granivores et nectarivores. Composé majoritairement de fruits (également quelques graines), ce dernier est naturellement riche en sucres et pauvre en protéines. Ces aliments sont rapidement assimilés, il est préconisé d’appliquer un régime identique en captivité dans la variété des repas et des roulements, pour une digestion parfaite.
Quand ?Lundi 4 février 2019 Participants :27 personnes |
Après la réunion du Conseil d’administration qui a eu lieu le 22 janvier dernier, le nouveau bureau avait beaucoup d’informations à partager avec tous les adhérents.
Elle a eu lieu lors de la réunion du 22 janvier, chez Jean Christophe COURTIAL.
Sont élus à la majorité, pour la période de 2 Ans, aux postes de :
Un tour de table, avec prise de parole en présentation, du bureau des nouveaux élus aux membres du CODA, s’est fait dans la bonne humeur.
Danye nous rappelle les principes de fonctionnement des commandes des bagues et l’utilité de lui demander de valider les commandes sur Ornithonet. Danye se charge également des adhésions.
L’IFAP autorise une prolongation du délai concernant la régularisation de tous vos oiseaux nés avant le 10 Août 2018 jusqu’au 29 Mars 2019.
Le club a fait une demande de SIRET pour répondre notamment aux nouvelles dispositions législatives en vigueur. (Par exemple l’obligation d’avoir un N° de Siret pour bénéficier de subvention.)
La demande d’ouverture d’un compte chez France Express, pour pouvoir expédier et recevoir des oiseaux depuis, ou vers, différents points du pays.
France express est le seul transporteur accrédité à transporter des animaux en France. Pour cela le club doit au préalable avoir obtenu un n° de SIRET.
Jean-Christophe fait la présentation d’un questionnaire pour faire remonter les demandes des membres. L’objectif est de faire le point sur les attentes, les manques, ou toutes autres suggestions.
Disponible par le lien ci-dessous, ce sondage peut-être rempli et transmis par l’intermédiaire de l’adresse mail du club (contact@coda-asso.fr), ou bien imprimé puis remis au bureau à la prochaine réunion, le 4 mars.
Bienvenue à Céline SACHET, que certains d’entre nous ont déjà rencontré lors de notre sortie nature. Céline présente son élevage de becs droits, de Serins du Mozambique. Elle aura la possibilité de nous parler, lors d’une prochaine réunion, de son élevage et nous en dire un peu plus sur ses projets d’éleveur.
Une réunion est sollicitée par la mairie pour l’attribution de la salle Cristal pour notre expo de septembre 2020. Robert DYE se propose d’y assister pour représenter le club.
La tombola s’organise. Vous le savez le club sollicite les membres du CODA dans leur participation à la tombola mise en place lors de notre expo. Cette tombola est l’un des grands axes permettant au club de fonctionner en ses divers projets. Vous pouvez remettre à Carine des lots tout au long de l’année afin de permettre une organisation plus adéquate au moment voulu.
Bauchet-Berthome, l’entreprise chez qui nous avions acquis les panneaux de volière a cessé ses activités. Nous recherchons un artisan pour réaliser une série de panneaux identiques et compatibles avec ceux déjà utilisés par le club. Un Budget de 1000 € à déjà été voté, l’année dernière, en ce sens. Si vous voyez des annonces mentionnant cette marque de volière en occasion, n’hésitez pas à nous la faire parvenir, à l’adresse mail du club (contact@coda-asso.fr).
Denis nous a présenté les 17 photos retenues pour l’expo qui seront inaugurées lors de la Semaine Verte organisée par la ville de Portes. Le club a obtenu un estimatif pour le tirage et la fourniture des cadres auprès de la papeterie BONNET qui se fixe aux alentours de la subvention consentie par la mairie, soit 290€.
Denis a présenté un diaporama des photos réalisé par les membres intrépides, présents lors de la sortie nature. Malgré un vent présent et un froid piquant nos courageux adhérents nous ont ramenés de beaux clichés. Vous le savez, le repas au restaurant “le Moulin du Château” n’a laissé personne indifférent. Toutes les espèces, in situ, autres que le Vautour fauve vu ce jour, n’étaient pas présentes. Denis propose de “remettre le couvert” en quelque sorte… Dès l’année prochaine.
Denis nous indique divers aménagements du site.
Divers possibilités d’abonnements aux réponses attribuées à des groupes de discussions. Il est désormais possible d’être averti par mail des nouvelles conversations des groupes de discussion dans lesquels vous êtes inscrits. Dans le groupe en question cliquez sur “options des courriels” et choisissez l’affluence des notifications, Denis conseille de choisir “résumé quotidien”.
Rappel quant à la notion “d’ami” sur le site. Un petit explicatif fera l’objet d’un tutoriel à paraitre sur le site.
Proposition de la mise en discussion collégiale, chaque mois, concernant à minima une espèce en vue d’établir une fiche spécifique à celle-ci. Nous rappelons que la réglementation impose d’associer une fiche d’informations lors de cessions d’animaux entre particuliers.
Voir Agenda ci-après.
Nous sommes fiers d’avoir parmi nous quelques éleveurs qui ont fait le pas vers la compétition, souvent récompensés. Nous avions avec nous Grégory VEYRET, et l’avons félicité pour ses performances : 4 médailles de champion de France dont 2 STAMS (Nota : le jugement sur STAM est en quelque sorte un jugement par équipe. L’éleveur présente 4 oiseaux de la même espèce ou mutation. Le jugement est fait sur l’homogénéité du groupe et leur qualité générale vis à vis du standard. Un exercice très difficile !)
Rachel et Gregory (DEMOURON), nous ont rapportés leurs péripéties de voyage à PONTIVY pour cette très grande réunion annuelle. Un constat de Rachel, beaucoup de cession de “couples reproducteurs” suite à des arrêts d’élevages. Espérons qu’il y ait des acquéreurs français qui reprennent les rennes et que ces oiseaux restent en France.
Il perdure des problèmes quant aux cessions, Rachel évoque des bagues sciées.
Denis nous confirme la continuité du CODA quant au parrainage du KAKAPO pour 2019. Le budget prévisionnel est de l’ordre d’environ 300€.
Carine nous propose de diversifier l’offre de gadgets mise en vente au public, lors de l’expo. (porte clés, bijoux, Etc…). Carine propose des petits choses sur le thème des Oiseaux. Elle reviendra vers nous pour établir une liste, et présenter un fournisseur.
Une signalétique se doit d’être mise en place au regard de soucis, de manque de compréhension de plusieurs visiteurs lors de notre dernière rencontre annuelle avec le public. Il devient nécessaire de clarifier les choses au sujet de la différence affichée entre la notion d’entrée libre et le droit d’accès à l’exposition, qui elle est payante. La notion d’entrée libre étant une formulation obligatoire à apposer sur les affiches. Un prévisionnel de 30€ pour deux affiches grands formats est annoncé. Il conviendra en outre de vérifier le besoin éventuel d’une banderole supplémentaire pour garnir les ronds points de la ville.
Une demande de recherche d’une crêpière, plus adaptée aux conditions d’usage lors de l’exposition annuelle, est faite aux membres présents. Françoise DIDERON se propose de se renseigner auprès d’une personne qui vend du matériel de restauration d’occasion.
Le CODA recherche un local d’environ 100m² pour stocker le matériel. Les conditions actuelles se fixent sur un loyer de 107€ par mois.
Yves Cogne nous indique son besoin d’un partenaire ponctuel, pour aller chercher et restituer les clés de la salle de réunion à la maison des association de Portes les Valence. Robert DYE se propose de remplacer Yves COGNE en cette tâche, dans le cas échéant.
NOTA : Vous avez des questions ou des demandes que nous pourrions débattre ensemble ? vous pouvez les adresser au secrétariat au plus tard une semaine avant la prochaine réunion, soit en laissant un commentaire sous ce compte rendu, soit en laissant un message par le biais du formulaire de contact.
9 et 10 février – LAMBESC (13)Expo-Bourse aux oiseaux de l’OCPA |
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23 et 24 février à Chusclan (30)Expo-Bourse aux oiseaux de l’ORNIA |
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2 & 3 mars à Mallemort (13)Expo-Bourse aux oiseaux de l’UOMTél. : 06 66 72 78 25 |
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Lundi 4 mars 2019 à 20h30 |
Prochaine réunion |
“Les animaux sont entre nos mains le gage du paradis perdu”
Léon BLOY
Quand ?Mardi 22 janvier 2019 Participants :8 personnes Jean-Christophe COURTIAL, Rachel TAREL-FAURE, Sylvie MARTIN, Denis PASQUES, Danièle MARGIER, Jérôme VUILLAMY, Philippe BUIT, Serge CROISY. Absent : Marc HERNU – Donne procuration à J.C COURTIAL |
Concours interrégional (Région Sud-Est, Région Centre-Est) ou bien championnat national Psittacidés.
Elle aura lieu à l’espace Cristal de Portes les Valence les 28 et 29 Septembre 2019. Un rappel mensuel lors des réunions sera fait pour sa mise en place et son organisation.
Nous étudions la possibilité d’un prestataire de service pour la petite restauration / boissons durant les deux jours. Nous étudions dans ce cadre l’éventualité d’engager des roulottes comme burgers, pizzas, ravioles, etc.
Le club a proposé pour éviter de renouveler l’hécatombe de l’an passé, et pour économiser les tympans des employés de la mairie de Portes les Valence, d’organiser une exposition de photos. Un budget de 290€ est alloué au CODA par la mairie (sous présentation de justificatif à la mairie).
Plusieurs demandes de devis sont en cours pour une prévisionnel de 200€ de tirage de photos, environ 160 € de cadres.
L’entreprise de papeterie Bonnet est sollicité pour une offre de devis. (Au jour de parution de ce compte rendu le devis a été reçu)
En savoir plus sur le projet expo photo
Nous projetons de traiter tous les mois un oiseau différent ensemble, recueillir les infos et retours d’expériences afin d’établir une fiche.
Fiche qui sera placée par la suite sur le site.
Nous renouvelons l’adoption de Kuïa, budget prévisionnel d’environ 300 €.
2 & 3 février 2019 |
![]() Bourse de l’Oiseau Club Gardois |
Lundi 4 février à 20h30 |
Prochaine réunion du club |